Avec la mise en œuvre progressive mais rapide de l’Assurance maladie universelle (AMU), se soigner convenablement n’est plus un luxe réservé à quelques privilégiés. Ce projet phare, inscrit au cœur de l’action gouvernementale, symbolise aujourd’hui une promesse de dignité et de justice sociale
Depuis son lancement effectif en janvier 2024, l’Assurance maladie universelle s’est imposée comme un outil majeur pour garantir l’équité dans l’accès aux soins. Il vise notamment à couvrir l’ensemble de la population, indépendamment de la profession, du revenu ou de la zone de résidence.
Qu’il s’agisse des fonctionnaires, des travailleurs du secteur privé, des artisans, des commerçants ou encore des agriculteurs, chacun est appelé à bénéficier d’une protection qui lui évite de sombrer dans la précarité face aux aléas de la maladie.
Le dispositif suscite depuis sa mise en marche, un élan d’adhésion et de confiance. Pour de nombreuses familles, c’est la fin des dilemmes douloureux entre payer des soins ou nourrir la maisonnée.
Les consultations médicales, les hospitalisations, les médicaments essentiels deviennent plus accessibles. Les hommes et les femmes avec leurs enfants sont soulagés par cette couverture aussi financière qui les rend sereins.
Aujourd’hui, l’assurance maladie universelle s’accompagne d’une donnée fort remarquable. Plus de 03 millions de personnes sont déjà couvertes, y compris les élèves assurés par le dispositif « School AMU », anciennement appelé « School Assur ».
Pour rappel, l’ambition du gouvernement est d’atteindre une couverture effective et complète de l’ensemble de la population, gage d’équité et de progrès partagé. De Lomé à Cinkassé, soigner n’est plus seulement un acte médical, mais aussi un acte de justice sociale.
La Rédaction